Guy debord est l’auteur de la théorie de la société du spectacle. Pour faire bref, cette théorie aborde le fait que les gens sont aliénés par le spectacle. Celui-ci est un moyen de divertissement, par exemple un film, qui vise à endormir l’individu, afin de lui inculquer les valeurs du système. Encore une fois, je pourrais faire référence au film Matrix dans lequel on pourrait dire que les gens sont endormis, branchés à des ordinateurs, et que ceux-ci leur passe un spectacle (la fausse réalité des gens). Pendant ce temps, les ordinateurs font ce qu’ils veulent des gens endormis par le spectacle. On pourrait aussi comparer cette théorie à la religion. On endort les gens, on les aliènent, afin de leur inculquer les valeurs que l’on veut bien.
La société de consommation
La société de consommation. Qu’est-ce que c’est exactement? En fait, c’est le fait que l’on consomme énormément, que statut social est défini par ce que l’on consomme, que nos objets prennent de plus en plus de place dans nos vies. La société de consommation, nous somme en plein dedans. Ce sont les objets que j’ai qui me représentent, et j’en veux toujours plus pour arriver à me définir davantage et pour que les autres me voient à travers mes objets. Si je n’ai pas de téléphone intelligent, je suis complètement « out », parce que tout le monde en a et que je ne fais pas partie de la « clique » si je n’en ai pas. D’ailleurs, meme si j’ai déja un téléphone intelligent, je peux quand meme continuer ma consommation, car les entreprises ont comprit la façon de faire. En fait, j’ai le dernier téléphone intelligent sortit, au moment où je l’achète, je sais déja que je vais changer de modele dans 2 ans, car à ce moment-là, il y aura un nouveau modèle, et j’aurai besoin du nouveau. On peut d’ailleurs adapter cette théorie de Baudrillard au film Fight Club où le protagoniste de l’histoire représente parfaitement l’homme de la société de consommation. Ses objets sont une partie de lui.
Simulacre et simulation
Pour Baudrillard, une simulation est le processus de reproduction d’une réalité donnée, c’est-à-dire par exemple que prendre une photo serait une simulation. Le simulacre lui, représente plutôt ce qui va résoudre de cette reproduction. Donc, si je continue avec la simulation prendre une photo, la photo en tant que tel serait le simulacre. Cependant, cette reproduction de la réalité ne garantie pas qu’il s’agira d’une reproduction exacte, car la photo que je viens de prendre, je vais peut-être la regarder dans une semaine et me dire comme on est heureux, alors qu’au moment où la photo a été prise, ce n’était pas le cas. Donc, peu importe la simulation, il y a une infinité de possibilités que la réalité soit biaisée par cette simulation. Par exemple, on peut parler du film Matrix où la matrice, qui est une reproduction de la réalité, est en fait complètement différente de celle-ci et laisse croire aux gens intégrés que c’est ce simulacre qui est réel.
Remake: Gorillaz
Cette semaine en lisant les blogues de mes camarades de classe, je suis tombé sur un billet concernant un de mes groupes de musique préféré: Gorillaz. Pour vous mettre en contexte, ce groupe est un groupe composé de 4 membres qui sont complètement fictifs, créés par 2 personnes. Cheese Fish Médias, l’auteur du billet en question, parle de la façon dont le groupe se présente pour les concerts « live ». Généralement, les musiciens sont derrière la scène, jouant la musique pour laisser place à un écran qui montre les personnages fictifs en train de jouer, mais ils ont également fait une tournée où les musiciens étaient également sur scène avec l’écran. Comme Cheese Fish Médias l’a mentionné, certains fans devaient être ravis d’enfin pouvoir voir de vrai gens jouer et de privilégier la réalité au virtuel. Ce que je vais dire va peut-être en choquer certains étant donné la nature du blogue, mais selon moi dans ce cas-ci je préfère les écrans 2D ou encore les hologrammes (technique qui avait été envisagée pour les concerts). Je ne crois pas que de présenter les musiciens soient tant plus réel que de présenter les personnages fictifs, premièrement parce que ces musiciens ne sont pas nécessairement les mêmes à chaque concert et à l’enregistrement des albums, alors côté réalité je ne pense pas que ces musiciens soient plus représentatifs de ce qu’est Gorillaz en réalité. Deuxièmement, ces membres fictifs qui composent le groupe sont assez vivants et je crois que c’est une des grandes qualité du groupe. Ils ont été créés pour incarner ce groupe et ont une vie bien à eux. Selon moi ces personnage sont bien plus authentiques que les protagonistes d’une télé-réalité, qui eux (dans la majorité des cas) jouent leur « propre rôle ». Alors, pour ma part je crois que ces personnages fictifs sont plus réels et incarnent beaucoup plus le groupe Gorillaz que d’envoyer des musiciens sur la scène, qui je le rappelle ne sont pas nécessairement les mêmes et qui n’ont peut-être pas travaillé comme tel sur la musique, qui font simplement la reproduire.
Les humains
Cette semaine j’ai été regardé les blogues de mes chers camarades de classe et j’ai lu un article qui m’a interpellé. Il s’agit de l’article « »Désirant » de ne pas avoir » de blackdulce. Ce mystérieux camarade dont j’ignore l’identité amene le concept de la société de consommation. Entre autre, il aborde le fait que les gens se déshumanisent, qu’ils perdent leurs valeurs humaines à cause justement de ce qu’on appelle la société de consommation. Je suis tout à fait d’accord avec les propos qu’il abordent, cependant j’ai tendance à croire que c’est dans la nature de l’humain d’en demander plus. Effectivement, c’est la société de consommation qui engendre notre « déshumanisation », mais cette société ne s’est pas battie seule, c’est bien les humains qui l’ont voulu. L’humain va sans cesse essayer d’avoir plus, car comme blackdulce l’a dit, on recherche le bonheur qu’on atteignera jamais, donc on continue de consommer encore et encore. Effectivement, je ne parle pas des pays plus pauvre, mais je crois que si soudainement ces pays pauvres deviennent riches, ils mettront eux aussi en place une société de consommation. En fait, ces besoins qu’ont l’humain de manger, boire, dormir, s’abriter, quand les humains en ont les moyens, ces besoins qui sont « acquis » deviennent plutôt manger de la nourriture de luxe, dormir dans un lit king, s’abriter sous une maison en or. Donc pour résumer un peu, je suis d’accord avec mon mystérieux camarade, par contre, je ne crois pas vraiment que l’humain se déshumanise, car à dire vrai c’est ce que l’humain est et sera toujours, un personnage friand de satisfaire tous ses besoins au meilleur qu’il le peut.
L’illusion du choix
L’illusion du choix. Voilà un concept dont nous avons tous déjà entendu parler au moins une fois dans notre vie, mais qu’est-ce que c’est exactement l’illusion du choix? En fait, l’illusion du choix est le principe d’offrir plusieurs possibilité qui visent toutes à un seul et même but. L’exemple le plus courant est celui de la voiture : je vais chez le concessionnaire et l’employé me présente plusieurs voitures différentes. Bien entendu, j’ai le choix entre plusieurs voitures, mais ces choix mènent tous au même point, je vais acheter une voiture. Si par exemple l’employé me présenterait comme option, d’acheter une voiture ou alors de ne pas en acheter et de prendre le transport en commun, alors l’illusion ne serait plus, car ces deux options mènent à deux points totalement différents. On peut aussi voir l’illusion du choix si l’on va par exemple au cinéma. On a le choix de voir plusieurs films, on fait notre choix, on le regarde et on retourne à la maison. Je crois ici que cette illusion est dans le principe où, je ne vais pas voir un film que j’ai choisit, mais plutôt un film appartenant à une sélection que le cinéma a choisit de me présenter. D’ailleurs, si on prend ce concept à son sens le plus large où absolument tout n’est qu’illusion, car tout est contrôlé soit par un individu ou une grande entreprise, que ce soit le cinéma, la mode, la nourriture etc… cela nous amène carrément au concept de la matrice. Nous sommes contrôlés par les grands dirigeants de ce monde.
Josie and the Pussycats
Cette semaine j’ai croisé mon petit côté féminin et il m’a rappelé un film sortit dans le début des années 2000 que j’avais beaucoup apprécié, Josie and the Pussycats, un film adapté de la bande dessinée qui porte le même nom et publié par Archie Comics. En me remémorant le film, je me suis rendue compte que la manipulation des médias de masse y était vachement bien représentée. En fait, pour vous mettre plus en contexte, Josie and the Pussycats est le nom d’un groupe de fille qui fait de la musique et qui essaient de se faire connaitre. Un jour elles rencontrent un producteur et il s’avère que l’endroit pour qui il travaille utilise la musique pour y insérer des message subliminaux incitants les jeunes à acheter certaines choses. En d’autres mots, ces gens utilisent un média de masse pour manipuler les autres. On peut donc ici voir un très gros lien avec notre propre société, car c’est exactement ce qui se passe on est en train de le vivre pleinement. Bien sûr, dans le film cette réalité est présentée d’une façon farfelue et exagérée, mais on s’y recconnait très bien. J’ai trouvé très intéressant de me remémorer le film, car je n’avais jamais vraiment fait le lien avec notre propre société. D’ailleurs, selon moi, malgré que j’ai tendance à le classer dans la catégorie film de filles, c’est un très bon film et ça vaut la peine de le regarder, ne serait-ce que pour le comparer à la vie réelle. ———————–FIN
Réseaux sociaux
Cette semaine, je me suis beaucoup posé de questions sur les médias de masse. Je me suis demander s’ils étaient bons ou non. Alors, pour répondre à ma propre question, j’ai décidé de m’attarder aux réseaux sociaux. Tout le monde les connait, presque tout le monde les utilise. Alors maintenant, sont-ils bons ou mauvais? Premièrement, sur les réseaux sociaux, on peut trouver de l’information, parfois personnelle, pertinente, vérédicte, fausse, douteuse, etc. Jusque-là, c’est moitié-moitié. Autant ces réseaux sociaux peuvent être une bonne source, autant ils peuvent représenter un ramassis de niaiseries. Ce qu’on peut en retenir par contre, c’est qu’ils peuvent être très utile quand les informations qu’on y trouve ne sont pas fausses. Alors on peut dire qu’ils peuvent être bons, comme ils peuvent être mauvais. En fait, tout va dépendre de la façon dont les gens s’en serve, car le média comme tel, n’a rien de mauvais, ce qui est bel et bien mauvais cependant c’est ce que les gens en font avec. Et je crois qu’on peut bien transmettre ça aux médias en général, car à bien y penser ce qui va faire, par exemple, que les nouvelles de la télé sont remplies de niaiseries, c’est les gens qui les contrôlent. Alors pour conclure, les médias, c’est génial. Ça permet aux gens de communiquer, de partager, de s’exprimer, de se divertir etc. Ce qui est mauvais c’est la façon dont les gens s’en servent. Voilà!
🙂
Inception
Il n’y a pas si longtemps, j’ai regardé un film, Inception de Christopher Nolan. Puis cette semaine, en me demandant quoi écrire pour mon blogue j’y ai repensé et j’ai eu un flash. Pour ceux qui ne l’ont pas vu, le but des protagonistes est d’implanter une idée dans le rêve d’une personne, afin que celle-ci complète une action voulue. Je pense que ce film réflete très bien l’idée de la communication de masse. Par exemple, si je regarde la télé un après midi et que je vois une publicité pour mc donald, il est très possible que pour le souper je pense à manger du mc donald. En regardant la publicité, l’idée s’est implantée en moi. Ou encore, on peut parler des films hollywoodiens qui cherche la plupart du temps à transplanter à leurs spectateurs l’American Dream et les valeurs americaines. Sur le coup, on ne s’en rend pas compte, c’est subtil. C’est exactement le même principe du film, on nous endort en nous branchant à un film. une histoire qui nous sort de notre monde réel, pour nous bourrer d’idées préconçues. D’ailleurs, c’est exactement de cette façon que les protagonistes du film s’y prennent. Ils endorment la personne. Elle est maintenant hors de son monde réel, à leur portée. Puis petit à petit, très subtilement ils insèrent cette idée. Alors quand la personne se réveille, sans qu’elle sans soit rendue compte, elle possède maintenant une idée qui a été discretement implantée en elle. Tout comme moi avec mc donald et mes nouvelles valeurs américaines. 🙂
En passant, très bon film! J’ai adoré!
Art d’autrefois vs Art aujourd’hui
Comme vous l’avez probablement tous déjà remarqué, on peut voir une très grosse différence entre l’art d’autrefois et l’art d’aujourd’hui. En effet, avec l’arrivée de l’industrie, du fait que l’on puisse produire son art en série, les oeuvres perdent en rareté et originalité, c’est-à-dire qu’aujourd’hui, n’importe qui peut avoir une oeuvre de Picasso dans sa demeure.
Certaines personnes croient qu’à cause de cet évènement, de l’arrivée du cinéma, de la photographie, etc l’art a perdu de son charme et qu’il a tellement changé que c’est difficile de le caractériser encore d’art. Avant, ce que l’on considérait comme de l’art était sacré et seule une partie de la population pouvait y avoir accès, la royauté, les nobles etc. En ce qui me concerne, je crois avant tout que le fait de pouvoir produire son art en série a été quelque chose qui a bouleversé l’art au plus haut point. Je ne dis pas bouleversé dans le sens ou l’art s’est éteint, plutot dans le sens inverse. Je crois que cet évenement a completement changé l’art et que c’est une très bonne chose. Avant, seuls les gens privilégiés pouvaient apprécier l’art, alors qu’aujourd’hui, tout le monde peut y avoir accès et je pense que l’art c’est quelques chose de très important pour chacun, c’est quelque chose qui peut nous aider à nous déterminer en tant qu’individu et avoir accès à l’art, c’est une source d’inspiration innépuisable.
De plus, certains peuvent croire que le fait de donner à tous la possibilité d’avoir un tableau d’un grand artiste dans son salon banalise l’art. En fait, je ne vois pas pourquoi cela aurait cet effet, car les tableaux originaux sont pour la plupart dans des musés où chacun peut les apprécier, alors les valeurs liées à l’art d’autrefois sont encore respectées, car ces tableaux sont en exposition et personne ne peut les endommager. Alors, le fait de pouvoir avoir une imitation d’un de ces tableaux dans son salon ne peut pas être nuisible, car les valeurs que les gens ont aujourd’hui permettent de comprendre que c’est une imitation et que le vrai tableau est sous clé au musé. Donc, l’imitation permet seulement à l’individu d’avoir une certaine appartenance et de l’exposer chez soi.
Aussi, on peut remarquer que de nos jours, les artistes ont rarement un produit original. On peut donc penser qu’on perd alors totalement ce concept de rareté. En effet, si on prend par exemple, un film, celui ci est en vente partout et n’importe qui peut se l’acheter pour 20$. Il est alors difficile d’avoir cet espèce de sentiment lié à la rareté, cependant, que ce soit pour un film ou de la musique, il y a toujours cinéma ou les concerts. Donc, ce que je tente d’expliquer, c’est qu’avec ces arts que sont le cinéma et la musique, plutôt que de pouvoir apprécier le produit original au musée, on peut assister à des évènements qui les présente. Donc, on peut avoir le sentiment d’excitation de voir nos musiciens préférés faire leur musique live ou d’aller à la première représentation d’un film etc.
En résumé, même si l’art a en effet énormément changé, je ne crois aucunement qu’il s’est éteint. En fait, je crois simplement que les techniques et les valeurs des gens ont changées.
Fin 🙂